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Semaine Abeille 2023 en Bourgogne
Du 5 au 16 juin 2023
par de nombreux rédacteurs
https://www.abeille-cyclotourisme.fr/souvenirs/2023-06_semaine_abeille_en_bourgogne.html
par Christian
https://www.abeille-cyclotourisme.fr/souvenirs/2023-06_semaine_abeille_en_bourgogne.html

(De Christian)

Pour avoir effectué tous les petits parcours, je confirme que le séjour a été une réussite à tous points de vue. Les parcours étaient bien choisis, en particulier les pistes cyclables méconnues qui permettent une tranquillité par rapport aux voitures, de l'ombre et du plat. Nous sommes restés sobres, sans vignobles traversés. Nous avons visité une terre de culture avec ses abbayes. En prime le beau temps était au rendez-vous. Vol des oiseaux et pétanque complètent les activités. 

Christian Auzet

par Jean-Lou
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(DE Jean-Lou, de la part de Marie-Christine et Jean-Lou Perrot)

:Merci aux Abeilles et à l’Abeille après cette très belle semaine 2023.

Ceci n’est pas une lettre de château, personne ne nous y oblige !

Avec une météo généreuse, des hébergements confortables dont on n’aura pas épuisé tous les charmes, des parcours très préparés, cette semaine 2023 fut pour nous, pratiquants exilés et en petite forme, un cadre exceptionnel, et pour renouer avec les petites Abeille(s) mieux qu’à l’occasion d’une simple AG.., et, comme déjà expliqué, en fait, avec le vélo.

Ceci à grand peine : Marie-Christine n’était pas du tout en forme, avec un vrai manque de tension, et je me suis retrouvé grand débutant, et avec mes erreurs et distractions de vieux cyclo et routines oubliées, et le souci de pouvoir ramener le vélo, d’où finalement des retours parfois en avance !

Si le vélo solitaire mais quand même globalement sur les traces du groupe et sur ses parcours a pu paraître égoïste, peut-être risqué et aussi un peu consommateur, sachez que l’ambiance Abeille, si particulière, est irremplaçable : nous tenions à le dire et ici à l’écrire et à en remercier les responsables, notamment Michel resté d’une humeur égale et d’une patience de marbre et les divers acteurs et actrices de ce vrai succès.

Vous nous avez construit de très beaux souvenirs !

Amitiés

Jean-Lou

par Maya
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(De Maya)

Merci Michel d'avoir si bien préparé ce séjour :

  • Les logements bien choisis au calme avec piscine, terrain de pétanque et des dîners de plus en plus gastronomiques,
  • Les parcours bien étudiés et chargeables sur nos Garmin pour les amateurs de beaux paysages, belles églises, beaux villages anciens et routes variés où les pistes cyclables furent privilégiées.

Ambiance toujours aussi sympathique avec le plaisir de rouler avec nos amis de la région parisienne et de retrouver les provinciaux (Jean-Paul, Mano, Jean-Lou et Marie-Christine) et le regret que Pierrot et Claudette aient annulé leur séjour à la dernière minute et que les anciens "piliers" ne soient pas venus.

Journée de transition très bien choisie avec le spectacle des oiseaux qui restera un temps fort de ce séjour.

BRAVO MICHEL. Tu mérites un triple ban.

Maya

par Roland
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Compte rendu de la journée du Samedi 10 Juin 2023
Petit parcours Charolles
1/2

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(de Roland Campo)

Pour cette 5ème journée de notre séjour à Dompierre-les-Ormes, dans le cadre verdoyant du Village des Meuniers, les Abeilles parées de jaune étaient toutes au départ – forcément en forme et de bonne humeur sous un ciel bleu sans nuage qui promettait une belle journée.

L’étape qui avait été inversée avec celle du lendemain pour ramener au dimanche l’avance voiture, devait nous faire traverser la bourgade de Charolles et, sur le retour la Butte de Suin.

Toutes les Abeilles ? En fait non car en enfourchant son vélo, Jean-Luc Félix a remarqué la forme aplatie de sa roue arrière. Le dégonflage était survenu sournoisement, dans la nuit. Pour ne pas le laisser seul face à cet imprévu malheureux, j’ai décidé de rester avec lui et après regonflage, nous avons décidé d’aller faire réparer chez le vélociste complaisant à la sortie du village de Dompierre, justement sur le circuit que nous devions emprunter. Le vélo était prêt à 10h00 et ...les Abeilles bien loin déjà. Mais qu’importe ! Avec nos batteries en pleine charge, nous avions tout le temps devant nous pour faire le petit circuit, prévu pour 61 km.

Après avoir pédalé tranquillement pendant une heure et demie, traversé le petit bourg d’Ozolles et des paysages bucoliques et un tantinet vallonnés, nous sommes arrivés au sémillant petit village de Charolles que, pour ma part, je découvrais. Nous aurions pu y passer le reste de la journée pour découvrir les nombreux vestiges moyenâgeux de cette cité, capitale de Charles le Téméraire, mais les Abeilles étaient déjà reparties et nous nous sommes contentés de flâner par les rues encombrées de touristes mais aussi de locaux venus faire leurs achats du samedi. Les deux petites rivières aux jolis noms de l’Arconce et de la Semence dont les bras s’entrelacent, les ponts et passerelles divers, justifient pour ce joli village de 300 âmes le nom de « Petite Venise du Charolais ».

N’ayant pas récupéré nos paniers pique-nique, nous aurions pu déjeuner sur place mais, considérant qu’il était un peu tôt, nous avons décidé – mauvaise pioche – de continuer lcircuit sur le trajet nominal, vers le nord en traversant la forêt. Champlecy, Fontenay, Viry,

Brancher, tous ces petits bourgs de quelques maisons isolées défilaient sans que les deux pédaleurs imprévoyants puissent trouver le moindre snack, le plus petit café, pas l’ombre d’un point de vente de fruits ou de chocolatines. Seulement des prés et des bocages où paissaient des charolaises (blanches) mais aussi des salers (rousses), écrasées par la chaleur et qui, n’ayant aucune chance de voir passer des trains dans ces vallons enclavés, se sont régalées de pouvoir admirer deux beaux cyclistes jaunes, la curiosité de la journée n’en doutons pas.

Bref, il était pratiquement 16h00 lorsque nous approchâmes de la Butte de Suin, marquée facultative dans le programme, sans doute à cause de la longue montée (niveau 600 m) qui n’a pas affolé nos moteurs électriques. Cette montée valait le détour qui nous permit de découvrir un site remarquable situé à mi-chemin entre Charolles et Cluny. La Butte supportait autrefois, paraît-il, un temple dédié à Mercure. Aujourd’hui, le mercure, il a fait très fort mais le temple a été remplacé par une statue de la Vierge installée à la force des bœufs et des hommes en 1884. Sur le dernier promontoire, une table d’orientation à 360° permet de laisser flâner son regard du Charolais (à l’ouest) au Clunysois (à l’Est), jusqu’aux contreforts du Beaujolais (au sud). Lors qu’il pleut (mais si, ça peut aussi arriver) cet endroit se situe sur la ligne de partage des eaux entre l’Océan atlantique et la Méditerranée. Nous nous souviendrons de ce site remarquable qui porte également une coquette petite église romane. Merci Michel pour ta clairvoyance dans le choix des parcours.

2/2

Il était temps d’envisager un retour chez les meuniers de Dompierre-les-Ormes. Au pied de la Butte, nous nous retrouvâmes à une étoile de petites routes non identifiées. Dépourvus de GPS comme deux novices, le nez sur nos cartes Michelin, nous étions dans le doute sur le meilleur itinéraire pour rejoindre Mont puis la D17. Une dame qui éclaircissait les iris sur le devant de sa maison nous renseigna aimablement avec un accent où teintait une coquette sonorité d’outre-manche. Nous partîmes confiants, mais tout à notre contemplation des ces beaux décors champêtres, nous avons dû zapper un carrefour. 45 minutes et quinze kilomètres plus tard et après avoir déjà redemandé notre chemin à un débardeur affairé qui nous a baladés, nous nous demandions encore si le soleil se couchait bien à l’ouest. Bref, sans panique mais l’œil sur la jauge de nos batteries, nous avions la désagréable sensation d’avoir fait un grand arc de cercle sur les chemins déserts du Charolais. Il était presque 17h00 et là, il fallait aviser. Justement, je remarquai une voiture arrêtée dans l’embouchure d’un chemin forestier et je n’hésitai pas à solliciter le chauffeur assis au volant. Fort aimablement, celui-ci, nous renseigna sur le champ avec précision et nous proposa même de nous guider au départ. Nous lui fîmes remarquer notre chance d’avoir enfin trouvé un autochtone prévenant qui connaissait parfaitement le réseau routier local, aussi nous fûmes vraiment surpris lorsqu’il nous répondit dans un Français irréprochable :

  • « Je ne suis pas d’ici, j’habite New York ».

Époustouflés, nous étions entrain de le remercier lorsque son téléphone sonna. Il s’excusa, décrocha et, après un bref échange, il précisa à son interlocutrice :

  • « Excuse-moi chérie, je dois te laisser, je suis entrain de renseigner deux pédaleurs égarés dans la campagne bourguignonne ». Puis après avoir raccroché :
  • « c’était ma femme. EllC me disait justement que voici une heure, elle a indiqué leur chemin à deux cyclistes en veste jaune ! »

Bref, nous avons tiré deux conclusions de cet épisode :

  1. Un cycliste en rando doit toujours être équipé d’un GPS ;
  2. La Bourgogne comprend une forte proportion d’émigrés américains.

Il nous restait une vingtaine de kilomètres à couvrir et Jean-Luc me faisait remarquer qu’il n’avait plus qu’une seule barre à la jauge de sa batterie – ce qui était aussi mon cas. Nous n’avons pas traîné et malgré tout, nous n’avons pas pu éviter une belle rincée d’orage en fin de parcours. C’est donc bien rafraîchis que nous avons franchi le portail de la base.

Roland Campo

par Jean-Paul
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Anecdotes du 9 juin

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(De Jean-Paul Fouchard)

Le peloton des Abeilles reste relativement groupé ce vendredi 9 juin jusqu’au pied du col de la Crie. Au sommet, au milieu du rond-point, parade un vélo géant  réalisé pour le passage du Tour de France le 13 juillet. Pendant la photo, le maire de Monsols vient à notre rencontre et nous explique ce beau travail accompli par un métallurgiste local retraité. (8 mètres d’envergure, 4,5 mètres de hauteur et pesant près d’une tonne). Monsieur le maire est fier de nous annoncer qu’il remettra un prix de meilleur grimpeur à l’arrivée de cette étape à Belleville en Beaujolais.

Pour éviter le col suivant, proposition d’une coupe qui passe par le vallon de Carelle, et à côté d’un lavoir, puis rejoint le parcours à Ouroux dans la vallée de la Grosne.

En compagnie d’un quartette de cyclottes et de Patrick sur son VTT, une petite route tranquille descendante nous conduit jusqu’au lavoir en bordure d’un ruisseau.

Encore quelques hectomètres et c’est ensuite que la situation se complique. L’agréable petite route laisse maintenant place à une piste herbeuse, empierrée et bordée d’une végétation épineuse qui va durer sur deux kilomètres. Avec des pneus gravel tout comme Christine, pas de soucis, mais pour nos trois baroudeuses équipées pour la route cette petite parenthèse muletière sera un peu plus, disons... inconfortable mais palpitante.

RLe vélo de Montsols
Le vélo de Montsols
Lavoir
Lavoir

Cherchant un endroit abrité du soleil pour le déjeuner, l'église de St Mamert, un peu à l’écart. 

au-dessus de la route semble idéale. Jean-Pierre avait eu la même idée. Sa sieste, bien à l’ombre sur les pelouses, en sera perturbée. Le retour vers Trambly, sera descendant et vent de dos. Encore une centaine de mètres de dénivelé et l'on retrouve Dompierre et le village des meuniers.

Jean Paul

par Jean-Pierre
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Beau temps pour une sieste

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(De Jean-Pierre)

Le 9 juin, ce sera l e jour pour une sieste.

  • Départ vélo du village des Meuiers; et
  • Le petit parcours franchira un col, mais, avec l'aide de l'assistance électrique, cela devrait le faire ...

Ça le fait. Dans un sypathique peloton de butineuses, on monte doucement. De temps en temps, on voit un groupe avec Jean-Peul et Patrick qui coupe par les fonds de vallée. Il faut dire que la route longe deux rivières qui montent (oui, on est en train de monter au col) et ne sait pas se décider sur la rivière à suivre. Ça laisse de la marge aux explorateurs sur roues; Alors ils abandonnent parfois le nominal tracé par Michel pour passer par les fonds de vallée (et les lavoirs qui, eux aussi, ont tendance à se rassembler près des rivières). En gros, selon Michel et selon la police, on est censés monter le long de la Grosne Occidentale.

Le col finit pas arriver sous nos roues qui n'en demandaient pas tant et, miracle de la géographie, une route qui coupe se révèle sur la gauche. Ça a l'air de monter, mais quand on part d'un col, on a des chances sérieuses de trouver bientôt une descente. Idéal pour rentrer en profitant egoïstement d'une halte tranquille "déjeuner et sieste". Je prends congé de mes compagnons de route (ils auront environ 10 km de plus à rouler et ne sont pas encore au point de chercher un  lieu pour manger, les pauvres...). Derechef, je démarre dans l'air chaud de cette fin de matinée, mon précieux casse-croute dans la sacoche avant, avec des idées par milliers pour réaliser un oreiller confortable avec le barda qui sédimente dans mes saoches bien chargées. Tout va pour le mieux...

Bingo, c'est gagné: ça finit par redescendre. Sur la carte de Michel c'ést une route bordée de vert, elle le vaut bien, et moi aussi. Le moment est venu de trouver le lieu de sieste tranquille et inoubliable rêvé tout à l'heure: une sieste d'une heure, peut-être, avec l'avance que j'ai maintenannt sur le groupe du fait des 10 km supplémentaires, collineux de surcroit, qu'ils auront à couvrir avant de me rattrapper.

Et... personne n'aurait l'idée saugrenue de couper par la gauche au col de la Crie !

C'est beau, ça descend bien, mais il y a de l'ombre et de l'humidité. Descendons, donc. Zut, on rejoint déjà le parcours, qui suit, qui l'eût cru, la Grosne Orientale. Grosne Orientale qui va sagement rejoindre la Grosne Occidentale que nous venons de monter à St Léger la Bussières ; pour se nommer, hors toute idée de conflit, la Grosne. Il faut trouver un arrêt avant de descendre trop bas.

Justement, là à St Mamers, une petite route monte raide (10% au moins) et discrète s'enroulant à gauche le long de la chapelle locale, déjà perchée dans la pente, avec l'exposition qui va bien pour trouver de l'herbe sèche et de l'air chaud, le tout avec l'ombre d'un arbre charitable. Ça se présente bien, et Il y a toujours des coins à sieste aux abords des chapelles de montagne. Ça monte: le chemin sera dissuasif. L'herbe sera donc accueillante et silencieuse comme il siet à l'herbe bien élevée d'un cloitre de montagne.

Le coin à sieste est parfait et bien à l'écart du parcours des Abeilles qui, de toute manière, ont un long détour à parcourir avant de parvenir à proximité de cette étape précieuse et dicrète. Et les abeilles auront mangé, en arrivant enfin ici. C'est le moment de remercier le vélo, de le coucher sur l'herbe, de casser la croute dans l'herbe fraîchement tondue et la bonne odeur de verdure, et de faire la sieste du siècle.

10 minutes, 15 peut-être, passent dans la contemplation et la méditation que de tels endroits inspirent. 

La 16° commence par un léger bruit de vélo. Qui s'est lancé dans l'ascension de cette côte à 10% ? Jean-Paul et Patrick, avec dans leur sillage une volée d'abeilles bruissantes. Rencontre avec un peloton d'Abeilles.

Sieste monacale
Sieste monacale

La suite de la journée sera comme une belle journée Abeille, mais sans sieste (ou presque).

Jean Pierre

par Rayjane
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Petit résumé de mon séjour en bourgogne

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(De Rayjane Piot)

Me voici prenant le parcours qui suivait les bords de l'ain, quand tout à coup mon " logiciel " un m'indique ERROR après avoir réenclenché la batterie c'est reparti une fois, deux fois et puis plus rien. Me voilà obligée de rentrer sans assistance. Je rejoindrai Guy qui est parti récupérer la voiture, à Neuville sur Ain.

Mon séjour cyclo s'est terminé ce jour-là, mais j'ai pu profiter encore de toutes les belles visites de ce bien agréable séjour et je dirai encore merci Michel.

Rayjane

par Anne-Marie
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(De Anne-Marie Boisselle)

Quand Michel nous a proposé une semaine en Haute-Saône, département qu’il avait découvert dans une flèche et à l’occasion du pointage des BPF, je lui ai dit « c’est super » mais j’ai pensé : c’est où au juste la Haute-Saône ?

C’est une région qui s’étend entre les coteaux du vignoble du Mâconnais (que l’on voit depuis l’autoroute A6) et les collines du Charolais (dont je n’avais gardé aucun souvenir si ce n'est dans mon assiette).

Entre coteaux et collines beaucoup de dénivellé au pourcentage parfois important qui a mis à mal les mollets ou les batteries, c’est selon. Le dérailleur de mon vélo lui n’a pas résisté et j’ai fini la semaine en voiture. C’était frustrant mais en voiture c’est moins dur.

Nous avons découvert une région authentique pourvue d’un riche patrimoine avec de nombreuses petites églises romanes, des châteaux forts très bien conservés et des abbayes au passé prestigieux.

La deuxième partie du voyage : 4 jours dans les Dombes nous a permis de visiter le Parc des Oiseaux (fantastique !) de découvrir des villages de caractère (Châtillon sur Chalaronne) et de pédaler au milieu des étangs ( sans dénivelé...). 

Les gorges de l’Ain furent également une belle surprise pour moi.

Un Grand Merci Michel pour cette organisation comme toujours très réussie : les hébergements (et les repas presque dignes d’un étoilé dans le 2ème gîte), les parcours, sans oublier le soleil qui ne nous a pour ainsi dire pas quitté alors que le temps était exécrable juste avant.

Anne-Marie

par Jacqueline et Robert
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(De Jacqueline et Robert)

Séjour remarquable, bien organisé-parcours bien conçus.

Notre semaine s’est déroulée comme prévu, distances, parcours raisonnables, tout devait bien se passer.

Notre premier jour de repos jeudi 8 juin dépannage d'Anne-Marie nous avons été utiles;.

vendredi 9 juin, approche voiture, chute de Jacqueline peu après le départ, sans gravité, le peloton qui nous ratrappe ne saura rien. 

Mardi 13 Juin, encore un beau parcours bien fatiguant mais RAS.

Nuit du mardi au mercredi ca se “corse”, Jacqueline douleurs thoraciques au lever du jour, le 15, samu, ambulance transport à l'hôpital Louis Pradel à Bron.

Le départ a lieu au moment de l'arrivée des Abeilles au petit déjeuner, stupeur, nous pensions être discrets. 

Malgré tout, sommes heureux de ce voyage Abeille, merci à Michel, à notre capitaine de route et autres… 

Jacqueline et Robert

par Edwige
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(De Edwige Briand)

Michel ayant tracé ces beaux parcours à l'aide d’openrunner, nous lui offrons un Garmin, en espérant qu’il en fera bon usage.

Merci Michel pour cette belle organisation, merci à ceux (pas assez nombreux) qui ont participé à cette compilation.

Edwige


"Le Cyclotourisme, un art de vivre"